Synopsis : Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.
Un véritable voyage dans notre subconscient… D’ailleurs suis-je vraiment en train de tenter (vainement!) d’écrire une bafouille sur ce film ou suis-je en train de le rêver?
Christopher Nolan nous invite dans le monde étrange du rêve entre science-fiction, action et espionnage.
Un casting impeccable (oui, oui, même Leonardo DiCaprio avec qui ces derniers temps j’avais du mal), des effets spéciaux à couper le souffle (la scéne où Ellen Page joue avec les perpective est juste géniale)… et surtout, un scénario qui putain de tient la route.
Un blockbuster, oui… mais un blockbuster intelligent…
Maintenant Mr Nolan vous pouvez nous pondre un nouveau Batman, merci.
(Le seul truc qui m’a fait chier, c’est d’entendre du Piaf dans un film avec Cotillard… hihi)
J’ai adoré! Le scénario, l’esthétique, les acteurs. Non, mais Ellen page et Joseph Gordon Levit, j’ai surkiffé!
Et enfin, enfin, un scénario original. C’est tellement rare que bon…
Original et qui tient la route!
J’aurai été à la place de Joseph Gordon-Levitt j’aurai sauté sue Ellen Page (et inversement je les ai adoré tous les 2 mais pas assez fouillé comme personnages :( )
Les 2 je prends comme 4 heures :p
Ce n’est pas la vie en rose que l’on entend comme déclencheur mais « non, je ne regrette rien » ;)
Vraiment un putain de film ! Vais retourner le voir tiens, histoire de comprendre toutes les subtilités du scénario^^
Oups!
Je le savais en plus mais je ne me relis jamais